85 jours. C'est le temps qu'il me reste pour motiver 1000 coureurs à participer au Le Trail Pacific Energy 2023 🌴 Un événement unique au Vanuatu qui prend place au milieu du bush habituellement inaccessible. Trois parcours ouverts spécialement pour cet événement dans un lieu habituellement inaccessible. Pourquoi 1000 coureurs ? Cet événement existe depuis 2018, je l'ai repris en 2021. Depuis le nombre de participants augmentent chaque année un peu plus. Cette année, je me suis fixé comme objectif d'atteindre les 1000 participants. #trail #trailrunning #vanuatu

Je repars de 0 MAIS 23,000 km plus loin 🛫 Je te raconte comment j’en suis arrivé là 👇 Enfant, j’ai toujours rêver de voyager. Je vis dans un pays magnifique : la FRANCE Mais j’ai besoin de voir au delà de l’horizon. 🇿🇦 2013 : Stage de 2 mois en Afrique du SUD = la Claque humaine 🇦🇺 2014 : Stage de 6 mois en Australie = cliché ? J’en rêve depuis mais 6 ans 🇳🇿 2015/17 : Sauveteur en Nouvelle Zélande 🇳🇮 2016/17 : Je trouve le job de rêve au Nicaragua = 4 mois à surfer 6h par jour 🇻🇺 2019/23 : Départ pour le Vanuatu sans date de retour (on y restera 4 ans) 🇬🇵🇫🇷 2023 : À la découverte de la Guadeloupe (août) Chaque nouvelle destination est synonyme de nouvelles opportunités et de renouveaux. Professionnellement de nouveaux challenges se présentent à nous. 2 Options : 🔎 La recherche d’un nouvel emploie sur place ou à distance, 👨‍💻 Continuer son activité à distance. Personnellement tu sors inévitablement de ta zone de confort : ✔️ Repartir de zéro, ✔️ Apprendre une nouvelle langue, ✔️ S’adapter à une nouvelle culture, ✔️ Trouver un nouveau rythme, ✔️ Faire de nouvelles rencontres, ✔️ Se construire un nouvel équilibre et de nouveaux repères Retour en image sur ces 10 ans et 5 destinations (reste des photos en commentaire) Photo 1 - On profite de nos derniers mois dans le Pacific Photo 2 - Notre arrivée au Vanuatu il y a 4 ans (coupe de cheveux au top) Photo 3 - Ma meilleure vie au Nicaragua (Las Plumerias = le meilleur surf camp pour une expérience surf réussi au Nicaragua) Photo 4 - Réunion de début de saison en Nouvelle Zélande Photo 5 - L’Australie (Louis Kerjouan que de bons souvenirs) Photo 6 - l’Afrique du Sud (très heureux d'avoir partagé cette expérience avec Benjamin Buthier) Louis Deslus 👨🏻 on discute de slow Digital Nomadisme ? PS : ceci est mon premier "vrai" poste sur Linkedin et je remercie Alexandre Thauron ☀ pour les tips. Pour me lancer, je me suis aussi énormément inspiré de Benoît Dubos #expatriation #aventure

La première fois que j’ai plongé au-dessus d’un récif de corail, c’était au Vanuatu en 2019. À cette époque, je n’avais pas encore conscience de l’urgence de leur disparition. Expatrié pendant 4 ans dans l’archipel, j’y ai découvert une vie douce et hors du temps. D’abord émerveillé par la beauté des fonds marins, mon regard a peu à peu changé. Derrière la “carte postale” vendu en magasin de souvenir, une réalité bien plus sombre : - des récifs vivants de plus en plus rares, - des zones entières de corail mort, - un contraste saisissant entre biodiversité et désert. En 2023, lorsque je suis arrivé dans les Caraïbes, on me parlait des fonds marins. Mais après mes années d’observations dans le Pacifique, j’ai surtout vu… des fonds ternes. C’est là que j’ai pris conscience d’une chose : Sans action, ces écosystèmes disparaîtront totalement. Aujourd’hui, j’ai la chance de contribuer à un projet concret : The Coral Planters, une association dédiée à la restauration des récifs coralliens. En chiffres : ✅ 3 056 m² de récifs restaurés ✅ 33 954 coraux plantés (et ce n’est qu’un début) Grâce à notre équipe et nos partenaires terrains, nous transplantons des coraux, recréons des habitats et redonnons vie à la biodiversité marine. Si vous êtes une 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞, une 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 ou un 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞́, vous pouvez faire partie de ce changement. Contactez-moi pour en savoir plus sur nos projets et comment devenir partenaire.

48,5 km en 7h30 à la rame. Mon corps n’était pas prêt pour cette effort à ce moment là. Et absolument rien ne s’est passé comme prévu. C’était un des objectifs de cette année. Faire le tour de l’île de Saint-Martin. Plusieurs semaines que j’attends les “bonnes conditions” pour réaliser ce challenge. En vain. Alors à 2 semaines de rentrer en France Il fallait le faire. Presque sur un coup de tête. Je me suis lancé. Mon corps n'était pas prêt et les conditions n'étaient pas bonne. Je suis seul, Sans assistance, Je transporte tout le nécessaire avec moi, J’ai donc le minimum pour tenir. Là est la première difficulté et les premiers doutes qui résonneront tout du long. Ai-je suffisamment prévu pour tenir quasiment 8h d’effort ? On est lundi 26 mai, Le matin même j’hésite encore à le faire. Le vent est plus fort que prévu, Le temps est instable. Les 2 première heures sont dures. Un vent latéral et des vagues me poussent sur la côte, Je lutte constamment pour garder ma trajectoire. C'est la saison des sargasses et l'eau en est infesté. Elles se bloquent dans ma dérive et m'obligent à m’arrêter régulièrement pour les retirer. Je puise déjà trop dans les réserves à ce stade. Les 2 heures suivantes : le plan d'eau est plat et j'ai un léger vent dans le dos. J'arrive à récupérer l’énergie perdue précédemment. Je me sens bien, l'alimentation et l'hydratation sont bonnes à ce stade. J’arrive à l’extrémité Est de l’île et j’entame ma remontée vers le Nord. Le temps se dégrade, Le vent tourne légèrement, Je l’ai maintenant face à moi, et je vais devoir affronter 2 grains successif : pluie + rafale de vent Je sais que ça va être dure. Je vais lutter sur chaque coup de bras, Dés que je m'arrête, je recule. Je sais qu’il me reste au moins 3h d’effort et au vue des conditions plutôt 4… Le moral prend un coup énorme. Après une heure d'effort, Je perds mon dernier bidon d’eau par inattention. Les 2 dernières heures se feront donc sans. Bilan : L’expérience ne s’est passé ni comme je le souhaitais, ni dans le timing voulu. Mais à l’arrivée cela n'a aucune importance. Ici seul l'accomplissement compte. Dans un monde où l'on maitrise tout, Ou l'on cherche le contrôle et la sécurité. Que ce soit dans nos entraînements, notre vie pro et perso. Je vous invite à vous offrir ce type d’expérience. Vous en apprendrez bien plus sur vous même qu'avec n'importe quel coaching ou formation. Dans 3 mois, je serais au Brésil pour la Molokabra Une compétition de longue Distance sur 6 jours. 3x30km Je serais prêt Les entraînements jusqu’à l’évènement sont programmés, L’alimentation et la récupération aussi. Mais au delà de tout du maîtrisable, je serais prêt à gérer l’inconnu, l’inconfort, les doutes et la douleur. Partenaire: TOPP - Training Olivier Paddle Performance --- Photo parcours en 1er commentaire

4 mois ! C'est le temps que l’on a eu pour préparer notre première expatriation à plus de 16 000 kilomètres de chez nous. 🇫🇷 France ---> Vanuatu 🇻🇺 C'est aussi le temps que l'on a pour préparer notre deuxième expatriation mais cette fois a plus de 23 000 kilomètres de chez nous. Vanuatu 🇻🇺 ---> Guadeloupe 🇬🇵 Il nous reste 2mois et demi et on est plutôt pas mal dans les préparatifs. 📸 Photo : 🌋 Prise depuis l’île de Nguna sur l'ancien volcan. Avec vue sur : 🏝 L’île d’Efate (sur laquelle nous vivons), 🏝 L’île de Moso où a été tournée Koh-Lanta en 2006. 🏝 L’île de Lelepa. #expatriation #voyage #vanuatu